Une fois n'est pas coutume :
1 - de grimper jusqu'au glacier d'un volcan situé à 5000 mètres
2 - que ce volcan soit considéré comme l'un des plus dangereux du monde
3 - que le volcan se réveille le lendemain de notre passage après 138 ans de sommeil.
Pour le coup, non contents d'avoir découvert de près un glacier, on ne risque pas de l'oublier suite à sa réactivation.
Certaines mauvaises langues ont évoqué la possibilité que je l'ai réveillé en parlant à son pied.. je réfute, je n'y suis absolument pour rien. Marc peut le confirmer, quand je monte je ne parle pas, on n'a pas assez d'air donc pas de gaspillage.
Après la petite page actualité volcanique sur le territoire équatorien (on ne va pas vous cacher que l'Equateur est truffé de volcans, dont un certain nombre encore actifs), le récit en peu d'image de notre courte ascension.
Et oui, nous ne sommes allés qu'au pied du glacier après 400 mètres de montée (de 4600 à 5000 mètres) et l'on s'est arrêté ici, fiers comme le premier homme qui a mis le pied sur la lune... peut être pas jusque là, mais tout de même très impressionnés par le glacier.
Hélas, comme tout glacier dans le monde, il recule à la vitesse grand V et le fait que l'on marche dessus n'arrange pas forcément les choses, du coup on a essayé de ne pas trop le piétiner :).
Si jamais, vous vous demandez pourquoi ne nous sommes pas allés jusqu'au sommet du volcan, on va vous expliquer rapidement.
L'ascension d'un volcan demande une vraie condition physique : on est à 5000 mètres... Dans le cas du Cotopaxi, elle se fait en 2 jours et le dernier jour, levé à 00:00 pour grimper 1000 mètres en 6h pour être au sommet pour le levé du soleil... faites votre calcul de vitesse par heure... Et l'ascension se fait au piolet et en cordée...
Du coup, nous n'avions plus vraiment l'énergie à la faire (surtout moi) et l'on a décidé de se le garder pour plus tard, donc si ça vous tente un jour, on sera certainement chaud, dites le nous !
A l'heure où l'on vous écrit, le Cotapaxi gronde toujours et les autorités évacuent les environs, nous on s'est eclipsé à Guayaquil... où j'écris les derniers articles d'une aventure incroyable.
Volcaniquement votre,
M&M
1 - de grimper jusqu'au glacier d'un volcan situé à 5000 mètres
2 - que ce volcan soit considéré comme l'un des plus dangereux du monde
3 - que le volcan se réveille le lendemain de notre passage après 138 ans de sommeil.
Pour le coup, non contents d'avoir découvert de près un glacier, on ne risque pas de l'oublier suite à sa réactivation.
Certaines mauvaises langues ont évoqué la possibilité que je l'ai réveillé en parlant à son pied.. je réfute, je n'y suis absolument pour rien. Marc peut le confirmer, quand je monte je ne parle pas, on n'a pas assez d'air donc pas de gaspillage.
Après la petite page actualité volcanique sur le territoire équatorien (on ne va pas vous cacher que l'Equateur est truffé de volcans, dont un certain nombre encore actifs), le récit en peu d'image de notre courte ascension.
Et oui, nous ne sommes allés qu'au pied du glacier après 400 mètres de montée (de 4600 à 5000 mètres) et l'on s'est arrêté ici, fiers comme le premier homme qui a mis le pied sur la lune... peut être pas jusque là, mais tout de même très impressionnés par le glacier.
Hélas, comme tout glacier dans le monde, il recule à la vitesse grand V et le fait que l'on marche dessus n'arrange pas forcément les choses, du coup on a essayé de ne pas trop le piétiner :).
Si jamais, vous vous demandez pourquoi ne nous sommes pas allés jusqu'au sommet du volcan, on va vous expliquer rapidement.
L'ascension d'un volcan demande une vraie condition physique : on est à 5000 mètres... Dans le cas du Cotopaxi, elle se fait en 2 jours et le dernier jour, levé à 00:00 pour grimper 1000 mètres en 6h pour être au sommet pour le levé du soleil... faites votre calcul de vitesse par heure... Et l'ascension se fait au piolet et en cordée...
Du coup, nous n'avions plus vraiment l'énergie à la faire (surtout moi) et l'on a décidé de se le garder pour plus tard, donc si ça vous tente un jour, on sera certainement chaud, dites le nous !
A l'heure où l'on vous écrit, le Cotapaxi gronde toujours et les autorités évacuent les environs, nous on s'est eclipsé à Guayaquil... où j'écris les derniers articles d'une aventure incroyable.
Volcaniquement votre,
M&M
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