Passer au Cambodge et ignorer leur histoire relève de l'impossible, nous ne l'avions pas ou très peu évoqué jusqu'à présent mais ça a été un malheureux fil rouge lors de notre séjour dans ce pays.
Entre le génocide et la guerre du Vietnam, le Cambodge a été victime d'une inhumanité qui ne s'est vraiment finie qu'au début des années 90 tout en ayant commencé au début des années 70 avec Pol Pot et les Khmers rouges.
Nous devons avouer que nous n'avions très peu connaissance des horreurs qui s'étaient déroulées au Cambodge jusqu'à aujourd'hui où nous en savons en plus..
Nous avons visité un musée à Angkor en relation avec les travaux de déminage qui se poursuivent encore aujourd'hui.
Ces mines sont la résultante de la guerre du Vietnam (1955 - 1975) et beaucoup ne sont toujours pas désamorcées. Les pays de la guerre froide sont à l'origine de beaucoup de mines anti personnelles et bombardements de missiles en tout genre. Les Etats Unis, la Russie et la Chine qui ont fortement contribué à ce désastre sont moins présents pour aider au déminage...
Les mines ne devaient pas tuer mais seulement estropier car il fallait 2 hommes pour ramener un blessé ce qui faisait alors 3 hommes en moins au combat contre seulement 1 si la mine tuait directement la personne qui mettait son pied dessus.
Et pour terminer, visite du centre S-21 ou un ancien lycée transformé en centre de torture et détention en plein Phnom Penh. Théâtre des pires horreurs avec des geôliers pour les plus tortionnaires âgés de 14 ans, ce centre a été ouvert sous Pol Pot entre 1975 et 1979. Sur 20 000 personnes entrées, moins de 10 en ressortiront vivantes.
Beaucoup de personnes n'avaient pas la moindre idée du pourquoi de leur présence au S-21 et de ce qui les attendait. Quand un membre d'une famille y rentrait, il était quasi certain que toute la famille y passerait. Objectif du centre : se débarrasser de tous les intellectuels qui pourraient faire obstacle aux Khmers Rouges.
Etre intellectuel à cette période pouvait se résumer à porter une paire de lunettes... ou savoir lire et écrire.
Je n'ai pris aucune photo car je ne souhaitais pas inscrire cette barbarie humaine sur une image. Notre mémoire suffira entièrement à nous souvenir de ce que nous avons vu et lu.
Pour conclure, les procès des Khmers rouges ne sont toujours pas clos après avoir commencé fin 90, la page n'est donc pas encore complètement tournée au Cambodge.
Entre le génocide et la guerre du Vietnam, le Cambodge a été victime d'une inhumanité qui ne s'est vraiment finie qu'au début des années 90 tout en ayant commencé au début des années 70 avec Pol Pot et les Khmers rouges.
Nous devons avouer que nous n'avions très peu connaissance des horreurs qui s'étaient déroulées au Cambodge jusqu'à aujourd'hui où nous en savons en plus..
Nous avons visité un musée à Angkor en relation avec les travaux de déminage qui se poursuivent encore aujourd'hui.
Ces mines sont la résultante de la guerre du Vietnam (1955 - 1975) et beaucoup ne sont toujours pas désamorcées. Les pays de la guerre froide sont à l'origine de beaucoup de mines anti personnelles et bombardements de missiles en tout genre. Les Etats Unis, la Russie et la Chine qui ont fortement contribué à ce désastre sont moins présents pour aider au déminage...
Les mines ne devaient pas tuer mais seulement estropier car il fallait 2 hommes pour ramener un blessé ce qui faisait alors 3 hommes en moins au combat contre seulement 1 si la mine tuait directement la personne qui mettait son pied dessus.
Et pour terminer, visite du centre S-21 ou un ancien lycée transformé en centre de torture et détention en plein Phnom Penh. Théâtre des pires horreurs avec des geôliers pour les plus tortionnaires âgés de 14 ans, ce centre a été ouvert sous Pol Pot entre 1975 et 1979. Sur 20 000 personnes entrées, moins de 10 en ressortiront vivantes.
Beaucoup de personnes n'avaient pas la moindre idée du pourquoi de leur présence au S-21 et de ce qui les attendait. Quand un membre d'une famille y rentrait, il était quasi certain que toute la famille y passerait. Objectif du centre : se débarrasser de tous les intellectuels qui pourraient faire obstacle aux Khmers Rouges.
Etre intellectuel à cette période pouvait se résumer à porter une paire de lunettes... ou savoir lire et écrire.
Je n'ai pris aucune photo car je ne souhaitais pas inscrire cette barbarie humaine sur une image. Notre mémoire suffira entièrement à nous souvenir de ce que nous avons vu et lu.
Pour conclure, les procès des Khmers rouges ne sont toujours pas clos après avoir commencé fin 90, la page n'est donc pas encore complètement tournée au Cambodge.
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